Casa Nostra

Durée: 1h30 - Genre: Drame, Famille
Date de sortie: 10 avril 2013
Réalisateur: Nathan Nicholovitch
Acteurs: Céline Farmachi, Gilles Kazazian, Clo Mercier, Alicia Fleury, Pierre Durand

Les retrouvailles d’Hélène, Mathilde et Ben Scappini.
Embarqués dans un road-movie pour rejoindre la maison de leur enfance, frère et soeurs se redécouvrent.


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Bande annonce du film "Casa Nostra"

Critiques

Xavier Leherpeur (Studio Ciné Live)
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.

Virgile Dumez (aVoir-aLire.com)
Obligeant le réalisateur à repenser l'espace en fonction d'un cadre peu naturel à l'oeil humain, le format carré permet d'allier le fond – des personnages qui étouffent dans leur quotidien – et la forme.

Ursula Michel (Critikat.com)
(...) le réalisateur invite le public à un retour sur soi, sur l'incommunicabilité et l'amour paradoxal qui cimentent une fratrie, sur ce pire ennemi psychanalytique et pourtant unique point d'ancrage qu'on appelle famille.

Noémie Luciani (Le Monde)
Filmée en noir et blanc, dans un format carré trop étroit pour que les trois jeunes gens y entrent, la fratrie peinte par Nathan Nicholovitch se cherche et se réapprend au fil d'un scénario qui manque un peu de structure, mais pas de justesse.

Romain Tourbillon (Les Fiches du Cinéma)
Un premier film singulier en forme de fugue, tour à tour charmant et exaltant, qui manque un peu de souffle dans sa dernière partie.

Serge Kaganski (Les Inrockuptibles)
En tant que fiction familiale, "Casa Nostra" nous passionne modérément. Mais comme document sur ses actrices et acteurs, c'est une splendeur.

Eric Vernay (Première)
Si ce refus d'un carcan scénaristique lisible offre à "Casa Nostra" son charme buissonnier, il le déleste aussi un peu trop de son élan romanesque à force d'ellipses et d'impasses.

Yannick Lemarié (Positif)
(...) l'impression d'être en territoire ba(na)lisé et de pénétrer dans un univers où le réalisme apparent des situations est sans cesse miné par l'accumulation de clichés.

Frédéric Strauss (Télérama)
Nathan Nicholovitch signe un film inventif (y compris par le format de l'image (...)). Au détriment des personnages, un peu fuyants, tantôt séduisants, tantôt irritants.


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