Dead Man Talking

Durée: 1h41 - Genre: Comédie dramatique
Date de sortie: 27 mars 2013
Réalisateur: Patrick Ridremont
Acteurs: Patrick Ridremont, François Berléand, Virginie Efira, Christian Marin, Jean-Luc Couchard

20 h. Une prison quelque part. William Lamers est condamné à mort. La loi ne précisant pas la longueur de sa dernière déclaration, il va profiter de ce vide juridique pour dérouler le fil de sa vie afin d’échapper à la sentence.


Horaires du film: indiquez votre ville ou code postal


Bande annonce du film "Dead Man Talking"

Critiques

Philippe Boissier (Ecran Large)
Une oeuvre vraiment à part, bien loin du moule formaté des trop nombreuses productions hexagonales.

Alain Grasset (Le Parisien)
Ce huis-clos carcéral bien ficelé, sombre, angoissant, teinté d'humour par moments, nous tient en haleine jusqu'à la fin. Patrick Ridremont se révèle remarquable dans la peau du condamné à mort et François Berléand épatant en directeur de la prison.

Jean-Pierre Lacomme (Le Journal du Dimanche)
Féroce, drôle, émouvant tant qu'il reste en prison, le film perd un peu de sa force dès qu'il franchit les murs de l'enceinte carcérale pour devenir moralisateur.

Thomas Sotinel (Le Monde)
L'anticonformisme du scénario et des décors (...) force l'attention, malgré l'inconséquence de certains partis pris.

Laetitia Pinon (Les Fiches du Cinéma)
Fort de son héritage théâtral, Patrick Ridremont réinvente à sa sauce le mythe de Shéhérazade. Un premier film qui prend la forme d'une tragi-comédie honorable mais inégale.

Alain Spira (Paris Match)
Le belge Patrick Ridremont signe un film atypique (...). Si [Dead Man Talking] flotte un peu dans son vêtement scénaristique, il offre assez d'humour et d'insolite pour vous embarquer dans son voyage carcéral (...). Raison de plus pour gracier, en allant le voir, ce coupable film belge.

Nicolas Didier (Télérama)
Ce premier long métrage du Belge Patrick Ridremont séduit par son ambiance de cauchemar et son humour noir. Moins par son versant mélo.

Virgile Dumez (aVoir-aLire.com)
Décalé durant sa première demi-heure, ce premier film à l'esthétique très travaillée se fourvoie dans une caricature grotesque de la vie politique et un symbolisme ringard.

Ursula Michel (Critikat.com)
Match nul pour cette revisitation du mythe de Shéhérazade, trop sage pour aspirer au statut culte d'autres auteurs belges et trop décousu pour être un grand film.

Bernard Achour (Première)
Un pitch d'enfer mais un traitement balourd et schizo.

Jean-Luc Wachthausen (Le Figaroscope)
Entre Ubu et Kafka, l'ambiance tire-larmes du film et quelques scènes assez glauques qui tournent à vide n'incitent guère à apprécier le film, tant les effets sont appuyés et les acteurs mal dirigés.

Romain Blondeau (Les Inrockuptibles)
Navrante relecture SF des "Mille et Une Nuits" dont on ne sait toujours pas ce qui, de la mise en scène informe, de la direction artistique hyper cheap ou des numéros d'acteurs cabotinant (Patrick Ridremont, aussi réalisateur, et François Berléand), relève le plus de l'aberration.

Sophie Grassin (TéléCinéObs)
Dans le viseur du réalisateur belge Patrick Ridremont, le cynisme ambiant : talk-shows en quête d'Audimat, politicien crétin, chargée de com véreuse. Mais le programme est un peu court et la réalisation pèse des tonnes.


Newsletter

Recevez chaque semaine les sorties cinéma directement dans votre boite email.
Merci d'indiquer votre email:

Box Office