Les Voisins de Dieu

Durée: 1h34 - Genre: Drame
Date de sortie: 27 mars 2013
Réalisateur: Meni Yaesh
Acteurs: Roy Assaf, Gal Friedman, Itzik Golan, Gili Shushan, Rotem Ziesman-Cohen

C’est le soir du Shabbat dans l’une des cités de Bat-Yam en Israël. Avi, Kobi et Yaniv, la vingtaine bagarreuse, se sont autoproclamés gardiens de leur quartier. Ils s’appliquent à faire respecter à la lettre leur vision des règles du Talmud.


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Bande annonce du film "Les Voisins de Dieu"

Critiques

Noémie Luciani (Le Monde)
Énergie et humour sont les qualités de ce premier long-métrage.

Corinne Bensimon (Libération)
Film fort et déroutant que ce premier long métrage du jeune israélien Meni Yaesh, (...) servi par un formidable jeu d'acteurs (...), oscillant entre l'action (...) et l'intime.

Bernard Achour (Première)
Avec un réalisme cauchemardesque et une intelligence glaçante, le film balance une telle charge dénonciatrice qu'il en semble lui-même terrifié.

Marie-Elisabeth Rouchy (TéléCinéObs)
Avec "Les Voisins de Dieu", son premier long-métrage, Meni Yaesh (...) capte avec beaucoup de finesse l'ambivalence d'une jeunesse écartelée entre un fanatisme qui justifie la violence et le racisme, un judaïsme tempéré ou son rejet pur et simple.

Camille Lugan (aVoir-aLire.com)
Malgré quelques maladresses et facilités d'écriture, "Les voisins de Dieu" explore une gamme de sujets et de personnages assez peu communs dans le paysage du cinéma israélien actuel.

Simon Riaux (Ecran Large)
Meni Taesh parvient à emballer un film des plus intéressants, qui réussit justement là où on ne l'attendait pas.

Arnaud Schwartz (La Croix)
Oeuvre originale et forte, (...) "Les Voisins de Dieu" dévoile un aspect méconnu du judaïsme.

Michael Ghennam (Les Fiches du Cinéma)
Un premier film ambitieux et sensible, qui plonge au plus près d'une communauté cloisonnée par ses convictions.

Serge Kaganski (Les Inrockuptibles)
Très fin dans son cheminement psychologique et politique, "Les Voisins de Dieu" l'est un peu moins dans sa réalisation. Les scènes d'action font une pâle imitation ringarde de Scorsese ou de Spike Lee (...). Moyennement inspiré pour figurer la connerie fascisante, Meni Yaesh est à son meilleur dans les passages intimistes.

Eithne O'Neill (Positif)
Plaidoyer pour la tolérance sociale et idéologique, le film s'affaiblit par un scénario sirupeux. Les bonnes intentions sont mortelles.

Samuel Douhaire (Télérama)
Meni Yaesh chronique cette jeunesse israélienne (...) comme s'il réalisait un film d'action - quitte à confondre montage rapide et clip vidéo, [mais] sa fougue (...) donne de jolis moments de comédie.

Jean-Philippe Tessé (Cahiers du Cinéma)
Pour filmer ces petites frappes, le cinéaste a recours à une multitude d'effets tapageurs et douteux qui rendent vite le film et ses acteurs proprement insupportables. En fait, c'est lui qui filme comme une petite frappe, sans le moindre recul et avec un maximum de complaisance.


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