Sorties Cinéma .fr

Bande annonce du film "Effets secondaires"

Critiques

Thomas Sotinel (Le Monde)
(...) Film suprêmement intelligent et distrayant.

Alain Grasset (Le Parisien)
Soderbergh nous entraîne dans un thriller psychologique bien construit, remarquablement maîtrisé et surprenant de bout en bout.

Jérôme Vermelin (Metro)
[Un] thriller magnifié par la mise en scène élégante de Steven Soderbergh et le duo Rooney Mara-Jude Law. Fans d'Hitchcock, ruez-vous sur cette pépite.

Franck Garbarz (Positif)
Derrière la chronique intimiste se niche un thriller psychologique évocateur de l'âge d'or du film noir (...). Décidément, le cinéma de Soderbergh n'en finit jamais de déployer ses richesses.

Philippe Ross (Télé 7 Jours)
Avec ses acteurs fidèles, [Steven Soderbergh] mitonne un thriller médical passionnant (...). Une première demi-heure éblouissante (...), un suspense digne de sir Alfred Hitchcock (...), voilà un polar virtuose qui fait de l'effet !

Aurélien Allin (CinemaTeaser)
Un jeu de piste à l'exécution millimétrée.

Jonathan Butin (Filmsactu)
Oubliés les errements expérimentaux des dix dernières années. "Effets Secondaires" est un retour aux fondamentaux : un scénario en béton, un casting somptueux et une réalisation sobre, totalement acquise à la narration.

Michael Ghennam (Les Fiches du Cinéma)
Steven Soderbergh s'amuse avec ce thriller de série B aussi élégant que l'est sa distribution.

Laura Meyer (Première)
Ce film est un produit Soderbergh (...). S'il faut chercher un couac, ce serait le scénario, qui vient en partie gâcher les succès de la mise en scène. (...) Rooney Mara et Jude Law [sont] brillants de bout en bout.

Olivier Bonnard (TéléCinéObs)
Si le scénario de Scott Z. Burns multiplie les rebondissements jusqu'à l'invraisemblance, ces virages sont aussi ce qui fait le prix du film. Car, sous couvert de charge anti-big business (...), "Effets secondaires" se révèle une étude de la nature humaine aussi glaçante que pouvait l'être "Contagion".

Pierre Murat (Télérama)
[POUR] Soderbergh filme New York comme seul Sidney Lumet savait le faire (...). A force de cadrages savants, il parvient, aussi, à rendre presque carrée - comme celle des grands de jadis - la mâchoire de Jude Law. Un vrai magicien...

Romain Le Vern (TF1 News)
Un dédale jouissif manipulant le spectateur, jouant avec les apparences, les faux-semblants, les conventions du film noir.

Damien Aubel (Transfuge)
Portrait d'une dépressive, charge contre le big business pharmaceutique, jeu de marionnettes hitchcockien: Soderbergh rappelle que la désorientation est un art. Et un plaisir de spectateur.

François Blet (aVoir-aLire.com)
Habile sans être bavard, Soderbergh sublime un scénario malin à défaut d'être brillant, vous capture l'oeil dès les premières séquences, le flatte sans lâcher la bride, et ne détache celle-ci qu'une fois la dernière longueur entamée. Et on insiste sur "longueur".

Gaspard Nectoux (Cahiers du Cinéma)
L'emballement d'un flash-back final, qui change la donne une dernière fois, représente l'acmé stylistique d'"Effets secondaires" où, le temps de quelques minutes enivrantes (...), Soderbergh offre, moderato, sa propre version d'un baroque du genre.

Laurent Pécha (Ecran Large)
La retraite approche et malheureusement Soderbergh le montre un peu trop dans un thriller efficace certes mais à l'effet secondaire redoutable : l'oubli !

Françoise Delbecq (Elle)
Le film [de Steven Soderbergh] commence comme un brûlot palpitant et (...) virage à 180 degrés, (...) passe au thriller. Dans un coup de théâtre un peu énorme (...), Steven Soderbergh se métamorphose en Brian De Palma !

Jean-Claude Raspiengeas (La Croix)
Cette intrigue haletante, à la mise en scène virtuose et idéalement maîtrisée, joue sur l'élégance pour décrire un univers de faux-semblants, où l'argent mène la danse.

Barbara Théate (Le Journal du Dimanche)
La mécanique de la manipulation est parfaitement huilée. Soderbergh nous fait avaler la pilule comme il veut.

Pascal Mérigeau (Le Nouvel Observateur)
(...) Un thriller assez bien réalisé par Steven Soderbergh, bien qu'il batte de l'aile dans sa deuxième partie.

Jacky Goldberg (Les Inrockuptibles)
Trop relâché pour pleinement convaincre (les incohérences sont nombreuses, le dernier quart d'heure est grotesque), pas assez détaché pour prétendre à l'hommage décalé (...), "Effets secondaires" n'est pourtant pas désagréable.

Bruno Icher (Libération)
Le scénario de Burns, servi sur un plateau par [Steven] Soderbergh, (...) est assez efficace même si quelques ficelles restent apparentes (...). On peut, en revanche, se montrer dubitatifs sur l'absence de toute ironie du film (...) : les plus indulgents pourront (...) y voir le sens du sarcasme (...) de Soberbergh et les autres se féliciteront du triomphe de la morale.

Estelle Bayon (Critikat.com)
Si le projet sur le papier est alléchant, le résultat à l'écran reste l'oeuvre mineure d'un petit malin surestimé.

Louis Guichard (Télérama)
[CONTRE] Soderbergh tourne trop et trop vite, il filme à la louche. Ce film de série [est] à la limite du nanar. (...) Le sujet accrocheur passe au second plan, et finalement à la trappe, au profit d'une intrigue à la fois banale et emberlificotée.