Free Angela

Durée: 1h37 - Genre: Documentaire
Date de sortie: 10 avril 2013
Réalisateur: Shola Lynch
Acteurs: Angela Davis, Eisa Davis

L'histoire d’une jeune professeure de philosophie, née en Alabama, issue d’une famille d’intellectuels afro-américains, politiquement engagée. Durant sa jeunesse, Angela Davis est profondément marquée par son expérience du racisme, des humiliations de la ségrégation raciale et du climat de violence qui règne autour d’elle.


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Bande annonce du film "Free Angela"

Critiques

Caroline Vié (20 Minutes)
Shola Lynch brosse un portrait magnifique de cette femme d'exception (...). La force de ce documentaire (...) ne vient pas seulement de la personnalité d'Angela Davis, mais de l'écho de la lutte qu'elle poursuit encore aujourd'hui (...).

Marie Toutée (Les Fiches du Cinéma)
Shola Lynch revient sur l'histoire de ce symbole féministe noir qu'est Angela Davis. Un documentaire fort, utile notamment pour les plus jeunes.

Isabelle Danel (Première)
Classique mais composé d'images d'archives rares, ce documentaire restitue parfaitement le contexte et l'époque.

Marie-Elisabeth Rouchy (TéléCinéObs)
Porté par des images d'archives inédites, le film est remarquable.

Weronika Zarachowicz (Télérama)
Impeccablement construit à partir d'archives, d'interviews avec Angela Davis et les principaux acteurs de l'époque, "Free Angela" se regarde comme un thriller politique, où s'enchevêtrent les luttes raciales, le militantisme noir et la fierté nouvelle (...).

Frédéric Mignard (aVoir-aLire.com)
Historiquement pertinent, "Free Angela" trébuche toutefois dans la forme classique où tout confine à l'hagiographie hébétée. (...) On ne retrouve pas toujours l'impact émotionnel et cathartique de cette lutte de bruit et de fureur qui scinda profondément l'Amérique lors de cette époque bien plus ardente que ce documentaire tiède.

Théo Ribeton (Critikat.com)
Elle devient une marque (on se contente de son prénom), et un logo (coupe afro, dents du bonheur) [...]. Le film ne cesse jamais de projeter sur Angela Davis une mystification très osée, l'utilisant plus ou moins comme un personnage de fiction : ne pas rater la musique de blaxploitation rythmant le passage sur sa cavale.

Vincent Ostria (Les Inrockuptibles)
On aurait aimé plus de détails sur l'enfance [d'Angela Davis] passée dans une famille elle-même militante, et surtout sur ses actions et combats entre les années 80 et aujourd'hui. Mais le film joue davantage avec le poster, avec l'image de la géniale coupe afro des années 70.

Eric Loret (Libération)
"Free Angela" est un bon documentaire, du genre télé (...). Quelques "reconstitutions" fictives soutiennent maladroitement la dramatisation. L'atout de "Free Angela", c'est l'image et sa fascination.

Jacques Mandelbaum (Le Monde)
Un portrait militant, qui aurait gagné à s'engager davantage sur le plan du cinéma

Alban Lefranc (Transfuge)
Bien sûr, ce film ne peut pas être tout à fait mauvais puisqu'il choisit de s'intéresser à Angela Davis. Cependant, l'approche trop souvent spectaculaire de la réalisatrice Shola Lynch, discrédite son projet.


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