La Cité Rose
Durée: 1h37 - Genre: Comédie dramatique
Date de sortie: 27 mars 2013
Réalisateur: Julien Abraham
Acteurs: Azize Diabate Abdoulaye, Idrissa Diabaté, Ismaël Ouazzani, Zouher Rahim, Anaïs Begue
"Mitraillette" a 12 ans. Il vit à la Cité Rose, sa cité qu'il ne quitterait pour rien au monde. Son univers, c’est sa famille : Isma, son cousin de 16 ans, qui admire Narcisse, le caïd du quartier et prend un mauvais chemin.
Bande annonce du film "La Cité Rose"
Critiques
Caroline Vié (20 Minutes)
La fraîcheur de cette "Cité rose" fait du bien en évitant violence inutile et clichés. Ses acteurs, non professionnels pour la plupart, sont vraiment épatants dans la peau de personnages fort justes. Ce film est tout simplement une vraie bonne surprise.
Frédéric Mignard (aVoir-aLire.com)
Un récit bouillonnant d'énergie, échappant aux clichés pour instaurer, entre drame et comédie, un regard frais et spontané sur l'une des cités les plus notoires de Seine-St-Denis.
Emmanuelle Frois (Le Figaroscope)
Un autre regard loin des clichés sur les cités.
Gérard Delorme (Première)
Grâce à un script solide et à une interprétation très vivante, il détaille la variété, la richesse et la complexité humaine d'une communauté rarement montrée au cinéma.
Mathilde Blottière (Télérama)
A un rythme effréné, le réalisateur s'amuse à casser les clichés (...) et à retourner les préjugés (...). Et si le film a une petite tendance au moralisme simpliste ("Il ne faut jamais s'arrêter de rêver"), sa clique de comédiens gouailleurs et attachants suffit à nous le faire oublier.
Thomas Sotinel (Le Monde)
(...) La confrontation entre [le récit enfantin et le film de gangsters] a le mérite de ramener la violence urbaine à son rang de phénomène destructeur, et l'énergie qu'elle dégage donne à "La Cité rose" un allant communicatif.
Johan Pomier (Les Fiches du Cinéma)
Ouvertement inspiré de "La Cité des hommes", un film parfois cliché mais souvent touchant, qui montre une image inédite de la banlieue.
Alice Géraud et Rachid Lairèche (Libération)
"La Cité Rose" n'échappe à la règle du film de banlieue. Julien Abraham, le réalisateur, ne voulait pas faire d'angélisme [et] tenait à parler de la violence des quartiers. Point de discours en revanche sur l'autre violence, (...) la violence sociale. Azize Abdoulaye Diabate, alias Mitraillette, (...) crève l'écran.
Maryline Letertre (Metro)
Si quelques clichés subsistent, l'énergie et l'honnêteté l'emportent.
Emmanuelle Spadacenta (CinemaTeaser)
Malgré d'énormes maladresses formelles et narratives, et un petit manque de rage, c'est un film suffisamment touchant pour qu'il mérite le coup d'oeil.
Carole Milleliri (Critikat.com)
De la page à l'écran, la bonne volonté ne suffit pas pour donner une envergure convaincante à une tragicomédie, dont la candeur sombre parfois dans une simple naïveté.
Pierre Wolf-Mandroux (La Croix)
Coincé entre le marteau de la comédie (...) et l'enclume du drame, (...) les leçons de vie sonnent faux. Les jeunes acteurs, recrutés dans les quartiers, sont pleins de bonne volonté. Mais ils ne marquent pas le film de leur empreinte.
Xavier Leherpeur (TéléCinéObs)
Rien ne manque, mais rien ne trouve jamais complètement sa place, ni son exécution cinématographique, dans ce récit sociétal plombé par une écriture trop scrupuleuse.