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Bande annonce du film "Perfect Mothers"

Critiques

Viviane Pescheux (Télé 7 Jours)
Anne Fontaine livre une histoire d'amour hors normes, d'une délicate et folle sensualité. Avec des actrices majuscules, Robin Wright et Naomi Watts, toutes deux solaires dans des rôles aussi complexes que touchants. Un beau film entêtant.

Frédéric Mignard (aVoir-aLire.com)
Anne Fontaine crée avec son talent habituel, et tout en anglais, une tension palpable, celle des corps en pleine attraction et des consciences qui s'abîment, jusqu'au très beau final qui clôt de façon apaisée cette histoire d'amour à quatre, totalement fusionnelle, où rarement les éléments solaires et marins auront eu autant de pertinence métaphorique.

Fabien Reyre (Critikat.com)
Surprise : la réalisatrice, dont on avait aimé les premiers films et nettement moins les autres, évite les pièges et signe un drame sec et culotté, aussi cruel que délicat.

Florence Ben Sadoun (Elle)
Un quatuor vertigineux se met en place sous nos yeux ébahis par la sensualité qui se dégage du film.

Stéphanie Belpêche (Le Journal du Dimanche)
Somptueuse visuellement, cette fable intrigante, teintée de mélancolie et profondément humaine, aborde des sujets comme la quête du bonheur, l'illusion et le fantasme.

Noémie Luciani (Le Monde)
(...) Mères et fils, amants et maîtresses, amis et amies fusionnels au point que des étrangers puissent les croire eux aussi amants. La liberté de jugement que la réalisatrice laisse embarrasse autant qu'elle passionne.

Alain Grasset (Le Parisien)
Ce film au sujet fort et dérangeant (...) ne laisse pas indifférent. Dans une ambiance brûlante et feutrée, ces mères séduisantes (...) vivent des histoires d'amour passionnées et fragiles. C'est osé, sensuel et attachant.

La rédaction (Libération)
Le film permet de redécouvrir Robin Wright, actrice décidément sous-estimée et qui forme avec Naomi Watts un duo attachant de femmes amoureuses.

Vladimir de Gmeline (Marianne)
"Perfect Mothers" est un film parfaitement irréaliste, auquel on se laisse prendre avec un plaisir évident.

François Forestier (TéléCinéObs)
(...) "Perfect Mothers" est une étrange love story, à la fois idyllique, cruelle et inattendue. Anne Fontaine (...) se garde de psychologiser ses personnages et dirige avec finesse deux actrices exceptionnelles (...). Le film est une ode au bonheur et au politiquement incorrect. C'est beau, sensuel, à rebrousse-poil de la morale conventionnelle.

Pierre Murat (Télérama)
Il y a bien, de-ci de-là, quelques chutes de rythme. Il y a, aussi, très réussies, des pauses.

Christophe Ono-Dit-Biot (Le Point)
Voir la critique sur le site du Point.

Serge Kaganski (Les Inrockuptibles)
Fondé sur des (...) acteurs physiquement superbes, des décors et une photo ultrachiadés, le film se feuillette comme un magazine de déco chic (...) qui a pour effet (...) d'amortir le potentiel sulfureux de son histoire. Les personnages sont désincarnés, (...) dans un jeu des quatre coins sexuel au final assez peu sensuel et charnel.

Olivier Delcroix (Le Figaroscope)
Perversion proprette,fausse audace, surf et inceste. On sauvera de la noyade les deux blondes dont l'une est productrice.

Chloé Rolland (Les Fiches du Cinéma)
En transposant la nouvelle de Doris Lessing, Anne Fontaine déploie son univers. La cinéaste joue longtemps du trouble lié à l'absence de questionnement moral, mais son refus du psychologisme va hélas de pair avec un manque de sensualité.

Maryline Letertre (Metro)
Hélas, de cette relation quasi-incestueuse, [Anne Fontaine] ne tire qu'un drame emprunté qui compense son absence de sensualité et de profondeur par de beaux paysages et un casting sexy en maillot.

La rédaction (Ouest France)
Sea, sex and sun. Mais ces belles images de roman-photo laissent de côté la profondeur d'un sujet troublant sur le vertige des dérèglements amoureux.

Eithne O'Neill (Positif)
Laissons ces couples, vus en plongée sur leur radeau : ils n'ont pas besoin d'autrui. Ni de spectateur, on a envie de dire.

Christophe Narbonne (Première)
[Un] sujet scabreux pour lequel on attendait un traitement audacieux de la part de la réalisatrice (...) qui a au contraire choisi la prudence, le film ne s'écartant jamais du chemin que la morale impose. Les sujets évidents (...) sont évacués, au profit d'une intrigue de roman de gare sans enjeux.