Stories we tell

Durée: 1h48 - Genre: Documentaire, Com&ea
Date de sortie: 27 mars 2013
Réalisateur: Sarah Polley
Acteurs: Rebecca Jenkins, Peter Evans, Alex Hatz, Michael Polley, Sarah Polley

Sarah Polley a une famille (presque) normale… Et presque comme toutes les familles, la sienne cache un secret. Quand Sarah le découvre, alors qu'elle est déjà une actrice nominée aux Oscars et une réalisatrice reconnue, elle décide de se lancer à la recherche de la vérité.


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Bande annonce du film "Stories we tell"

Critiques

Alice Leroy (Critikat.com)
"Stories We Tell" éclaire tout à la fois notre rapport aux légendes familiales qui nous constituent et la capacité du cinéma à s'en saisir pour inventer des récits où la fiction le dispute au documentaire.

Jean-Dominique Nuttens (Positif)
Sarah Polley (...) réalise l'un des plus beaux films du moment et nous offre une histoire universelle, très joyeuse et très triste, que l'on éprouve l'envie irrépressible de raconter autour de soi.

Virgile Dumez (aVoir-aLire.com)
En brouillant constamment les frontières entre fiction et réalité, Sarah Polley signe un documentaire d'un genre nouveau, à la fois profondément humain et manipulateur. Mais toujours passionnant.

Corinne Renou-Nativel (La Croix)
Sarah Polley parvient, avec son histoire de famille si singulière, à atteindre une dimension universelle et à toucher le coeur de chacun.

Emmanuèle Frois (Le Figaroscope)
Une aventure très personnelle qui touche à l'universel.

Thomas Sotinel (Le Monde)
Une oeuvre (...) audacieuse, qui explore tous les recoins d'une histoire familiale, avec une patience et une compassion implacables (...). Sarah Polley, qui n'est pas une débutante, témoigne ici d'une habileté vertigineuse.

Nathalie Zimra (Les Fiches du Cinéma)
Sarah Polley s'interroge sur son histoire familiale, en questionne avec tendresse et délicatesse les principaux acteurs et se découvre une nouvelle filiation sans renier jamais la précédente.

Isabelle Danel (Première)
La réalisatrice tisse un film complexe et passionnant sur la vérité et le mensonge. (...) De ces souvenirs partiels ou partiaux naît une oeuvre émouvante qui soulève des questions de vie et de cinéma.

Sophie Grassin (TéléCinéObs)
(...) Le film, d'une émotion et d'une intelligence inouïes, se révèle (...) un trompe-l'oeil où Sarah Polley, petite Antigone du roman familial, livre une sacrée leçon de mise en scène et de vie.

La Rédaction (TF1 News)
(...) Sarah Polley a endossé le rôle d'exploratrice pour raconter avec pudeur l'histoire de sa famille en interrogeant ses proches qui finiront par révéler un secret, dans une oeuvre originale et inclassable. (...) Le talent de Polley est de réussir à diriger les interviews et le film comme si elle n'était pas impliquée alors que l'histoire se resserre inéluctablement sur elle.

Florence Ben Sadoun (Elle)
On ne fait pas immédiatement la part du faux dans ce montage où tout fait vrai, et c'est ce qui agace un peu, mais ce roman autour de la mère de Sarah Polley finit par faire écho à notre propre histoire familiale. Et c'est là qu'elle réussit à toucher!

Vincent Ostria (L'Humanité)
(...) Le film emporte l'adhésion grâce à sa dynamique et à son art consommé du "montage-attraction" (...), 
qui en font un roman complexe.

Alain Spira (Paris Match)
(...) Un vrai-faux documentaire très original (...) [dont] l'aspect véridique (...) ne passionnera que ceux qui aiment voir les gens tirer sur leurs racines familiales jusqu'à ce que la vérité sorte en un bouleversant bouquet d'humanité. Quant aux autres, ils risquent vraiment de trouver le temps long ...

Damien Aubel (Transfuge)
Si la démarche de Sarah Polley vire vite au dispositif un peu vain, Diane, la mère défunte, renaît avec une intensité rare. Pétulante et solaire, elle fut aussi une actrice de sa propre vie; une double vie si bien enfouie qu'il fallait bien ce Stories We tell pour la mettre à jour.

Louis Guichard (Télérama)
Le procédé jure avec l'intention initiale : confronter une multitude de récits (enfants, mari, amants de la défunte) parfois contradictoires, mais tous vrais à leur manière. Pourquoi opposer un pur fac-similé aux souvenirs ­déjà reconstruits de chaque témoin ? C'est surligner le romanesque qui, heureusement, surgit de toute façon.


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